La CEVIM au service des sans-abris
En 1994 le Père Maloney, supérieur général, souhaitait voir la Congrégation de la Mission rejoindre L’ONU pour y porter la voix des pauvres. C’est en 1998 qu’elle postulera et sera reconnue.
En 1994 le Père Maloney, supérieur général, souhaitait voir la Congrégation de la Mission rejoindre L’ONU pour y porter la voix des pauvres. C’est en 1998 qu’elle postulera et sera reconnue.
Ce lundi 8 mars, la coordination de la famille vincentienne, après avoir hésité à se retrouver en présentiel au 95 de la rue de Sèvres à Paris a préféré, par sécurité sanitaire en raison de l’épidémie, se retrouver en visioconférence. De 9h30 à 11h30, chaque branche représentée a pu partager ce qu’elle vit en cette longue et douloureuse période de pandémie.
Lorsque le 17 mars commence le premier confinement, c’est tout d’abord le souvenir de mon expérience missionnaire en Bolivie qui m’a permis de penser à m’organiser. Nous ne recevions plus hebdomadairement les personnes sans-abris au repas, seule l’équipe a continuée à se retrouver. Les célébrations étant interdites à cause du cluster produit en milieu de culte évangélique, le confrère en paroisse se retrouvait sans activités.
Nous développons souvent le portrait de Monsieur Vincent comme d’un homme vertueux, entièrement consacré au service des pauvres. Lorsque nous avons désiré renouveler notre regard sur lui, il y a trente ans, avec le Père Morin, nous avons redécouvert un homme au regard qui s’est élargi
Je dois avouer que ces jours ci j’ai « des bleus au cœur » quand je vois la tournure des événements autour de la question du racisme. J’en serai presque arrivé à en « broyer du noir », sans vouloir en venir aux poings avec personne.