De la fabrique du sacré à la révolution eucharistique – Quelques propos sur le retour à la messe.

C’est décidément chose étrange comme la messe, dans l’histoire religieuse de notre pays, a pu faire l’enjeu de débats et le fait encore, même depuis que l’immense majorité de nos concitoyens a cessé de s’y rendre, au point que l’on peut se demander, parfois, si toute cette chamaillerie épisodique n’entre point parmi les indicateurs de notre identité française.

UN ACCUEIL POUR FEMMES DE LA RUE A LA MAISON-MERE DES LAZARISTES. « ACCUEIL LOUISE & ROSALIE »

Une œuvre de la Famille Vincentienne voit le jour dans notre Maison-Mère ce 12 novembre 2020 ! Durant trois années, la Société Saint Vincent de Paul, la Fédération Française des Équipes Saint Vincent et les Lazariste ont mis en route ce projet pour accueillir des femmes sans abri, de plus en plus nombreuses, qui déambulent dans les rues de Paris.

Rencontre avec le Père Roberto Gomez : « Saint Vincent de Paul est l’abbé Pierre de son époque »

À quelques jours de l’ouverture de l’Accueil Louise & Rosalie, situé dans les locaux de la Congrégation de la Mission dite des « Lazaristes », Coline et Laurence, bénévoles de l’accueil, sont allées à la rencontre du Père Roberto Gomez, supérieur de la communauté. Ce dernier nous parle de l’approche vincentienne de la pauvreté et donne des conseils concrets aux bénévoles pour accomplir au mieux leur mission.

Lettre aux amis et partenaires de l’Accueil Louise & Rosalie

Nous sommes heureux de vous adresser la première Lettre d’Information de l’Accueil Louise & Rosalie. Envoyée désormais régulièrement, elle aura pour but de vous tenir informés de l’avancement du projet et, après l’ouverture de l’accueil, des actions à conduire, des résultats obtenus, des dates à retenir, etc…

MESSAGE DU PAPE FRANÇOIS 4e JOURNÉE MONDIALE DES PAUVRES. 15 novembre 2020, 33ème dimanche du Temps Ordinaire « Tends ta main au pauvre » (Si 7, 32)

Dans ce panorama, « les exclus continuent à attendre. Pour pouvoir soutenir un style de vie qui exclut les autres, ou pour pouvoir s’enthousiasmer avec cet idéal égoïste, on a développé une mondialisation de l’indifférence. Presque sans nous en apercevoir, nous devenons incapables d’éprouver de la compassion devant le cri de douleur des autres, nous ne pleurons plus devant le drame des autres, leur prêter attention ne nous intéresse pas, comme si tout nous était une responsabilité étrangère qui n’est pas de notre ressort.»