En ce triste dimanche de novembre nous commémorons et la victoire des alliés qui mit fin à la première guerre mondiale, dans le wagon de la forêt de Compiègne et le rappel des millions de morts de cette guerre ; il y a 100 ans…
La Pastorale des Vocations doit répondre à la fois au défi du manque de personnel et au problème de désertion et d’instabilité, tout en orientant la vie et l’œuvre de la Congrégation vers la fidélité créative du suivi de Jésus-Christ Évangélisateur des pauvres.
Dans la séquence narrative étudiée, l’intégration ecclésiale est constitutive de l’universalité du salut. Le récit ne propose pas un christianisme formé de communautés ethnicisées, vivant en parallèle. Il ne suggère pas des communautés mono-ethniques ou mono-culturelles. L’histoire de Pierre et de Corneille construit plutôt une identité ecclésiale inclusive et respectueuse des différences ethniques et culturelles.
L’Évangile, en particulier, nous invite à la rencontre avec le Seigneur, à l’exemple de cet ‘‘homme’’ qui ‘‘court à sa rencontre’’ (cf. Mc 10, 17). Nous pouvons nous identifier à cet homme, dont le texte ne mentionne pas le nom, presque pour suggérer qu’il peut représenter chacun d’entre nous.
Venant de différents endroits de la France, nous nous retrouvons tous le dimanche soir, autour d’un apéritif offert par les confrères de la maison. Temps de retrouvailles, d’échanges, de partage.