François Régis-Clet… Un missionnaire en départ… qui a montré le chemin au jeune Jean-Gabriel Perboyre

Surprenante et inattendue a été pour nous tous cette année 2020. Quand avons-nous imaginé être confinés dans nos maisons comme si nous étions des moines de stricte observance monastique ! Nous avons dû lâcher l’accélérateur, ce que saint Vincent appelait « un zèle excessif » qui, dans certains cas, ne nous laisse le temps ni de prendre le repas ni du partage fraternel.

 » Le chemin du Fils de Dieu « . Petite homélie pour la fête de Sainte Louise de Marillac. 9 mai

Une femme de la haute bourgeoisie, après une enfance chahutée, est devenue patronne de tous les travailleurs sociaux chrétiens. C’est le chemin parcouru de 1591 à 1960 (je dis bien 1960) par ste Louise de Marillac dont le nom est indissociable de celui de st Vincent de Paul. Monsieur et Mademoiselle ont œuvré ensemble pour rendre féconde la charité de Dieu.

Petite visite de notre dévotion à Marie

Mettons-nous quelques instants à la place d’une mère. Celle-ci apprécierait elle d’entendre à longueur de journée son enfant dire qu’il est nul, qu’il n’est pas à la hauteur, qu’il n’est bon à rien etc. ? car ce « pauvres pécheurs » dit principalement nos incapacités à relever le défi de vivre comme Dieu nous le demande. Cette mère ne se désolerait-elle pas de ne voir aucune avancée de l’enfant ? Ne serait-ce pas lui laisser comprendre qu’elle n’est pas une bonne mère puisque nous ne sommes capables de rien ?